Créé par une bande de filles éperdument mordues de Bebop Hardbop, ce jazz américain diabolique des années 50-60, THE BLAKETTES honorent les pères et mères fondateurs de cette musique tant énergique que romantique qu’est le Hardbop ! Elles piochent, revisitent et cuisinent un répertoire riche et vivant, et vous invitent à un voyage au cœur du Jazz 60’s, en rendant hommage avec passion à ses créateurs : ArtBlakey, Wayne Shorter, Bobby Timmons, Yussef Lateef, Grant Green, Cannonball Adderley, Oscar Peterson, Charles Mingus, McCoy Tyner, Cedar Walton et bien d’autres…
Tout cela pour nous souvenir des magnifiques concerts donnés par Art Blakey,Mc Coy Tyner, Cedar Walton au Gouvy Jazz des années fin ‘70/ début ’80.
Un son, un groupe, un univers. Dans son deuxième album, Jeanne Michard s’impose comme LA saxophoniste ténor française à suivre. Révélation française 2022 des rédactions de Jazz Magazine et Jazz News puis Révélation des Victoires du Jazz 2023, elle poursuit la florissante aventure de son Latin 5tet, entre Paris, New-York et La Havane, avec Julien Lourau comme directeur artistique.
Quand on lui demande ce qu’elle a retenu de son expérience à Cuba, Jeanne Michard a mille histoires à raconter : la musique dans les rues, le premier bœuf dans un bar, les leçons particulières avec des musiciens cubains qui se transforment en jam sessions improvisées. Pour la jeune parisienne, qui se rêvait cinéaste avant de se révéler jazzwoman, l’immersion à La Havane ressemble à un voyage initiatique, d’où elle est ressortie changée et convaincue. De retour à Paris, elle fondera le Latin 5tet avec une seule envie : partager, vibrer et danser.
Née en 1993, Jeanne Michard débute le saxophone à sept ans, mais elle en a déjà vingt-et-un lorsqu’elle entre au conservatoire du neuvième arrondissement de Paris avec Nicolas Dary et Luigi Grasso. Pas forcément du sérail, elle a pris les chemins de traverse avant de découvrir le monde des clubs et imposer sa griffe. Elle fait partie d’une nouvelle génération de musiciens découverts dans le Zoot Collectif et les Paris Jazz Sessions.
Jeanne Michard parle passionnément du son, et de ce ténor des années 1940 sur lequel elle a trouvé le sien. Un son de caractère, ample et rond dans le grave mais volontiers tonique et toujours chantant. Un style joliment « old school » et hors mode qui la fait sortir du lot. L’important, dit-elle, c’est le fil, l’histoire qu’elle va raconter dans chacun de ses solos. Rhoda Scott, « l’organiste aux pieds nus », qui sait reconnaître une bonne musicienne lorsqu’elle en trouve une, l’intègre à son Lady All Stars.
C’est donc de retour d’un voyage à La Havane que Jeanne a fondé le Latin 5tet, ce groupe dont elle a tellement envie. En 2020, son premier titre « Llolare », festif, percussif et dansant, la plaçait sur la carte comme une jeune musicienne à suivre. Autour d’elle, une bande talentueuse qui marche à l’amitié, à l’écoute et à la curiosité. Leurs noms : Clément Simon au piano, Maurizio Congiu à la contrebasse, ainsi que Pedro Barrios et la révélation Natascha Rogers aux percussions. Il faut les voir sur scène (comme à Jazz In Marciac, Le Bal Blomet, You And The Night And The Music de TSFJAZZ ou le festival French Quarter à New-York) pour se rendre compte de l’énergie positive que dégage le groupe, ainsi que l’image résolument fraîche, mixte et moderne qu’il renvoie.
Désireuse de pousser plus loin les aventures débutées sur un premier album très réussi, « Songes Transatlantiques », d’agrandir le cercle et d’intégrer des sons nouveaux (dont le hip-hop !) à ce grand mix de jazz afro-cubain, Jeanne Michard dévoile « Entre Las Flores », un disque qui conjugue danse et finesse, mélodie et esprit, et dans lequel elle se raconte avec brio. Toujours aussi bien entourée (le percussionniste, chanteur et violoniste Nelson Palacios ainsi que l’étonnante vocaliste flamenca Paloma Pradal sont là, Julien Lourau assure la direction artistique), Jeanne n’en finit plus de convaincre, juste et inspirée dans chaque intervention, soliste et « leadeuse » au service d’un groupe et d’une musique qu’elle adore sincèrement, et maîtrise de plus en plus. L’idée, dit-elle, était de créer un album « un peu plus proche de moi ». Il est encore plus beau et plus riche. Pari réussi !
Georgios Tsolis est un pianiste, arrangeur et compositeur grec de jazz qui est né et a grandi sur l’île de Céphalonie, en Grèce, vivant actuellement à La Haye aux Pays-Bas. Il est un artiste de jazz actif depuis 2005 dans la scène jazz grecque et néerlandaise. Il a étudié au conservatoire royal de La Haye et est titulaire d’un baccalauréat et d’un master en piano de jazz.
Il se produit principalement avec de petits groupes et la plupart de son travail personnel fait référence à des trios pour piano jazz. En tant que chef d’orchestre, il participe à de nombreux festivals de jazz en Grèce et en Hollande avec son trio interprétant ses compositions originales. Il a reçu de très bonnes critiques de magazines et de journaux grecs et néerlandais pour ses performances ainsi que son premier album personnel. Sa diversité musicale, allant du classique à la musique grecque traditionnelle du latin à l’improvisation libre, ses années de conservatoires étudient la tradition du jazz, et les influences de maîtres comme Chick Corea et Herbie Hancock se rencontrent dans sa musique.
Une quête constante pour soi-même en tant que clé du progrès continu est une vision de la vie pour Georgios et la musique est son véhicule pour cette quête. « Je m’améliore en tant que personne avec ma musique «
« s’écarter de diverger » est une expression de créativité pour lui. Son idée d’arrangements structurés et bien exécutés coexistant avec la liberté d’improvisation spontanée donne la direction principale à sa recherche musicale. En tant qu’interprète, il aime souvent sortir de sa zone de confort en essayant de nouvelles idées et de nouvelles techniques. La performance interactive et la collectivité dans les improvisations sont ce qu’il demande à ses camarades de groupe. En tant que compositeur, il a tendance à expérimenter « l’expansion » de l’harmonie et des formes traditionnelles. Il vise des mélodies fortes et narratives qu’ils peuvent « habiller » son idée d’harmonie, de forme et d’improvisation à ses compositions.
Avec beaucoup de respect pour la tradition jazz, il a hâte de poursuivre le son du jazz avec son propre point de vue sur le jour.
Pianiste et compositeur americain, Emmet Cohen est l’une des figures marquantes de la scène New Yorkaise. Reconnu par ses pairs pour son « touché mesuré et agile, son vocabulaire harmonique chaleureux » ( Downbeat) ils est également formidablement à l’aise sur scène tissant très rapidement des liens de complicité avec le public et les autres musiciens. Leader du trio qui porte son nom, Emmet est un pianiste international qui s’est déjà produit dans les plus grands festivals et clubs de Jazz à travers le monde…
Le nom du groupe » Laminoir collectif » fait référence aux sonorités qu’ont choisis d’explorer ces 5 musiciens. Autour de Thomas, de son chant et de ses percussions, les musiciens qui l’accompagnent proposent un mix moderne de rythmes africains, d’arrangements jazz afro-américain ainsi que de sonorités latines/afro-caribéennes.
A l’heure des revendications portées par les minorités culturelles à travers le monde, Laminoir collectif propose de dépasser les courants qui souhaitent restreindre les échanges et l’intérêt que suscitent les musiques du monde. Pas d’appropriation, juste l’expression de notre intérêt pour les belles choses dans le respect des peuples et de leur histoire.
Laminoir collectif propose un set haut en couleurs et en énergie, le projet est né d’une belle rencontre entre des musiciens carolos du groupe LOV Band. Leur invité, Thomas JLB, n’est plus à présenter tellement son talent scénique est qualitatif et fédérateur. Enfin, le saxophoniste français Benjamin Dubray prit une place déterminante dans le projet qui offre une musique festive.
Projet de Laurent Doumont, l’Americano est un quintette de soul présentant un répertoire de standards italiens des années 50 et 60 joyeusement adaptés dans l’idiome soul-jazz.
Fermez les yeux, vous pouvez presque entendre les vagues sur les plages de Capri…
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