Claudio Giambruno est l’un des jeunes musiciens les plus étonnants de la scène jazz actuelle en Italie. Grâce à sa virtuosité combinée à une richesse poétique et une grande spontanéité, il a réussi à se tailler une place importante dans le panorama des nouvelles générations de jazz italien, en tant que leader et sideman.
Diplômé avec mention en Saxophone Jazz au Conservatoire de Palerme, il a plusieurs projets en son nom et collabore régulièrement avec de nombreux musiciens italiens et européens. Membre du Sicilian Jazz Orchestra de la « The Brass Group Foundation », il s’est produit aux côtés d’authentiques monstres sacrés de la scène nationale et internationale, dont Ron Carter, Christian McBride, Ivan Lins, John Clayton, Billy Cobham, David Kikoski, Eliseo Loreda Garsia, Roberta Gambarini, Nicole Henry, Halie Lauren, et bien d’autres…
De son passage au club de la Ferme Madelonne, il en a gardé un souvenir impérissable au point d’avoir composé un morceau appelé tout simplement ‘GOUVY’ .
Pour ce concert sur la scène du festival, il rencontre l’incroyable trompettiste NICOLAS FOLMER. Le spectacle est dédié au 100ème anniversaire de la naissance du légendaire saxophoniste DEXTER GORDON.
Le trompettiste franco-suisse Erik Truffaz est incontestablement l’un des musiciens les plus brillants de sa génération. Référence mondiale du jazz, son style est souvent comparé à celui de Miles Davis et sa musique est portée par la fusion et la découverte sonore… Dans son 17ème album « Roll », Truffaz revisite et ajoute sa touche unique à certaines des plus grandes pièces musicales de l’âge d’or du cinéma, dont « La Casse » avec Jean-Paul Belmondo, « La Strada » réalisé par Fellini, « One Silver Dollar » avec Marilyn Monroe. Une tracklist pleine de mélodies émouvantes et reconnaissables qui nous ont fait rêver, rire et pleurer.
Erik avait marqué les esprits lors de son passage à Gouvy en 2019… C’est un réel plaisir de pouvoir l’accueillir sur notre scène pour la présentation de son nouvel album !
« C’est à cause de Louis Armstrong que tout a commencé », déclare Thad Jones dans le magazine Jazz N°104 de 1955.
« Je l’ai entendu jouer à Detroit quand j’étais gosse et depuis ce moment Louis Armstrong est devenu chez nous comme le mot de passe à tel point, qu’au bout d’un certain temps,
à force de nous entendre discuter de lui, un étranger à la maison aurait pu croire qu’il s’agissait d’un membre de la famille« .
Après quelques rudiments donnés à l’école, c’est par lui-même que Thad Jones apprend la trompette.
Jouant dans de petites formations dans lesquelles il croise les routes de Sonny Stitt, Hank Jones, Elvin Jones…
il part en tournée durant deux années, à l’été 1941, dans les Etats du sud des Etats-Unis, avec l’orchestre de Connie Connel. Après son service militaire, Thad Jones entre dans l’orchestre de Count Basie en 1954 jusqu’en 1963.
Le sextette que l’on va vous présenter est un nouveau projet porté par le batteur Bernd Reiter et le manager espagnol Jordi Sunol et qui tient à respecter l’esprit musical du trompettiste avec certes certains arrangements pour leur présentation à Gouvy.
Etant donné qu’il s’agit d’une formation qui ne s’est jamais présentée en public, il nous est impossible de montrer une vidéo, mais bien une petite idée avec cet enregistrement… Ça va être superbe!
La combinaison du son oriental avec le son occidental ? Le maître du oud, chanteur et compositeur Dhafer Youssef est à l’avant-garde d’un mouvement de musique contemporaine qui rapproche l’Orient et l’Occident. Il construit des ponts entre différentes musiques. En tant que l’un des joueurs de oud les plus inventifs, il a libéré l’instrument de son rôle traditionnel et l’a introduit dans le jazz.
Dhafer Youssef a joué avec des musiciens du monde entier, dont Herbie Hancock, Husnu Senlendirici et Zakir Hussain. Il a remporté deux fois le prestigieux Dutch Edison Award et deux BBC Music Awards. Sa voix aiguë de muezzin et son oud voluptueux lui ont valu d’être remarqué à l’Echo Jazz. Figure de la scène jazz fusion contemporaine, la beauté étrange et fascinante de sa musique est un voyage à travers le dialogue entre l’Orient et l’Occident.
A Gouvy, il interprétera son nouvel album « Street of Minarets » dans le cadre de sa tournée européenne.
Née en Belgique de parents musiciens, Pascale Elia commence à chanter à l’âge de six ans et fait ses premiers pas sur la scène jazz avec le Big Band de Liège. En 2005, Pascale quitte la Belgique pour poursuivre sa carrière sur la côte ouest des États-Unis. A Los Angeles elle enregistre et se produit avec le duo formé par le pianiste Vénézuélien Otmaro Ruiz et le bassiste Carlitos Del Puerto. À Las Vegas, elle rencontre et se produit avec Uli Geissendoerfer, intègre le quintette “Colors » du pianiste avec lequel ils enregistrent un 1er album.
Elle se produit également avec son propre quartet, un projet brésilien et enregistre un second CD live. Pascale tourne également au Japon avec le pianiste, compositeur – arrangeur italien Tony Pancella avec lequel elle prépare la sortie d’un nouvel album.
Un concert qui s’inscrit dans la tradition même si la chanteuse au background multi-culturel n’hésite pas à ouvrir la porte à des sonorités plus contemporaines ou latines. Proche du public, tantôt mélodique, tantôt rythmique, elle s’approprie chaque titre grâce à son sens de l’improvisation et son approche personnelle.
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